• Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients (ou sensibilité croisée avec les autres membres du groupe des imidazolés).• Préservatifs ou diaphragmes en latex.
Mises en garde :• Ce médicament est déconseillé : • pendant l'allaitement ;• en cas d'association à des spermicides (cf Interactions).• En l'absence d'une symptomatologie clinique évocatrice, la seule constatation d'un candida sur la peau ou les muqueuses ne peut constituer en soi une indication.• La candidose confirmée, il faut rechercher avec soin les facteurs écologiques pouvant favoriser le développement du champignon. Pour éviter les rechutes, l'éradication ou la compensation des facteurs favorisants est indispensable.• Il est souhaitable de traiter simultanément tout foyer à candida, reconnu pathogène, associé.Précautions d'emploi :• En cas d'intolérance locale ou de réaction allergique, le traitement sera interrompu.• Il est déconseillé d'utiliser un savon à pH acide (pH favorisant la multiplication du candida) : cf Posologie et Mode d'administration : Conseils pratiques.• Ce médicament contient du parahydroxybenzoate et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).
Interactions médicamenteuses :Contre-indiquées :• Préservatifs masculins en latex/diaphragme en latex : risque de rupture du diaphragme ou du préservatif en latex lors de l'utilisation avec des corps gras ou des lubrifiants contenant des huiles minérales (paraffine, silicone...).Déconseillées :• Spermicides : tout traitement local vaginal est susceptible d'inactiver une contraception locale spermicide.
Grossesse :Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier de ce médicament. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque. En conséquence, ce traitement peut être prescrit pendant la grossesse si besoin. Allaitement :Par prudence, ce médicament est déconseillé pendant l'allaitement, en l'absence de données sur le passage dans le lait du nitrate de miconazole.
Classe pharmacothérapeutique : anti-infectieux et antiseptiques à usage gynécologique (code ATC : G01AF04). Le nitrate de miconazole est un dérivé imidazolé doué d'une activité antifongique et antibactérienne. L'activité antifongique a été démontrée in vitro et s'exerce sur les agents responsables de mycoses cutanéomuqueuses : • dermatophytes (trichophyton, epidermophyton, microsporum) ;• candida et autres levures ;• Malassezia furfur (agent du Pityriasis capitis et du Pityriasis versicolor) ;• moisissures et autres champignons.L'activité antibactérienne a été démontrée in vitro vis-à-vis des bactéries Gram +. Mécanisme d'action : Différent de celui des antibiotiques, il se situe à plusieurs niveaux : membranaire (augmentation de la perméabilité), cytoplasmique (inhibition des processus oxydatifs au niveau des mitochondries), nucléaire (inhibition de la synthèse de l'ARN). • Activité sur Corynebacterium minutissimum (érythrasma).• Activité sur actinomycètes.
Absorption : Après administration vaginale d'une dose unique de 1200 mg, le miconazole pourrait persister dans le vagin jusqu'à 72 heures. L'absorption systémique est limitée, avec une biodisponibilité probablement proche de 1 à 2 %. Chez certains sujets, les concentrations plasmatiques de miconazole sont détectables dans les deux premières heures, atteignant des valeurs maximales 12 à 24 heures après l'administration. Ensuite, les concentrations plasmatiques diminuent lentement et sont encore mesurables chez la plupart des sujets 96 heures après l'administration. Une seconde dose administrée 48 heures plus tard paraît conduire à un profil plasmatique similaire à celui obtenu lors de la première administration. Distribution : La fixation du miconazole aux protéines plasmatiques dépasse 88 %, avec un passage intraérythrocytaire estimé à 10,6 %. Métabolisme et élimination : La faible quantité de miconazole absorbée s'élimine de façon prépondérante dans les selles, à la fois sous forme inchangée et de métabolites, dans les 4 jours suivant l'administration. De petites quantités de produit inchangé et de métabolites apparaissent également dans les urines.
Durée de conservation : 2 ans. A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C, dans l'emballage extérieur, à l'abri de l'humidité.
• Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients (ou sensibilité croisée avec les autres membres du groupe des imidazolés).• Préservatifs ou diaphragmes en latex.
Mises en garde :• Ce médicament est déconseillé : • pendant l'allaitement ;• en cas d'association à des spermicides (cf Interactions).• En l'absence d'une symptomatologie clinique évocatrice, la seule constatation d'un candida sur la peau ou les muqueuses ne peut constituer en soi une indication.• La candidose confirmée, il faut rechercher avec soin les facteurs écologiques pouvant favoriser le développement du champignon. Pour éviter les rechutes, l'éradication ou la compensation des facteurs favorisants est indispensable.• Il est souhaitable de traiter simultanément tout foyer à candida, reconnu pathogène, associé.Précautions d'emploi :• En cas d'intolérance locale ou de réaction allergique, le traitement sera interrompu.• Il est déconseillé d'utiliser un savon à pH acide (pH favorisant la multiplication du candida) : cf Posologie et Mode d'administration : Conseils pratiques.• Ce médicament contient du parahydroxybenzoate et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).
Interactions médicamenteuses :Contre-indiquées :• Préservatifs masculins en latex/diaphragme en latex : risque de rupture du diaphragme ou du préservatif en latex lors de l'utilisation avec des corps gras ou des lubrifiants contenant des huiles minérales (paraffine, silicone...).Déconseillées :• Spermicides : tout traitement local vaginal est susceptible d'inactiver une contraception locale spermicide.
Grossesse :Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier de ce médicament. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque. En conséquence, ce traitement peut être prescrit pendant la grossesse si besoin. Allaitement :Par prudence, ce médicament est déconseillé pendant l'allaitement, en l'absence de données sur le passage dans le lait du nitrate de miconazole.
Classe pharmacothérapeutique : anti-infectieux et antiseptiques à usage gynécologique (code ATC : G01AF04). Le nitrate de miconazole est un dérivé imidazolé doué d'une activité antifongique et antibactérienne. L'activité antifongique a été démontrée in vitro et s'exerce sur les agents responsables de mycoses cutanéomuqueuses : • dermatophytes (trichophyton, epidermophyton, microsporum) ;• candida et autres levures ;• Malassezia furfur (agent du Pityriasis capitis et du Pityriasis versicolor) ;• moisissures et autres champignons.L'activité antibactérienne a été démontrée in vitro vis-à-vis des bactéries Gram +. Mécanisme d'action : Différent de celui des antibiotiques, il se situe à plusieurs niveaux : membranaire (augmentation de la perméabilité), cytoplasmique (inhibition des processus oxydatifs au niveau des mitochondries), nucléaire (inhibition de la synthèse de l'ARN). • Activité sur Corynebacterium minutissimum (érythrasma).• Activité sur actinomycètes.
Absorption : Après administration vaginale d'une dose unique de 1200 mg, le miconazole pourrait persister dans le vagin jusqu'à 72 heures. L'absorption systémique est limitée, avec une biodisponibilité probablement proche de 1 à 2 %. Chez certains sujets, les concentrations plasmatiques de miconazole sont détectables dans les deux premières heures, atteignant des valeurs maximales 12 à 24 heures après l'administration. Ensuite, les concentrations plasmatiques diminuent lentement et sont encore mesurables chez la plupart des sujets 96 heures après l'administration. Une seconde dose administrée 48 heures plus tard paraît conduire à un profil plasmatique similaire à celui obtenu lors de la première administration. Distribution : La fixation du miconazole aux protéines plasmatiques dépasse 88 %, avec un passage intraérythrocytaire estimé à 10,6 %. Métabolisme et élimination : La faible quantité de miconazole absorbée s'élimine de façon prépondérante dans les selles, à la fois sous forme inchangée et de métabolites, dans les 4 jours suivant l'administration. De petites quantités de produit inchangé et de métabolites apparaissent également dans les urines.
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