Forme galénique / Dosage : Ovule 150 mg Famille ATC : Anti-infectieux et antiseptiques gynécologiques Classe ATC : ANTIINFECTIEUX ET ANTISEPTIQUES, NON ASSOCIES AUX CORTICOIDES Sous classe ATC : DERIVES IMIDAZOLES Laboratoire : JANSSEN-CILAG Prix public (FCFA) : 3375 |
Traitement local des mycoses vulvo-vaginales surinfectées ou non par des bactéries Gram +. |
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•Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés au cours des essais cliniques sont des réactions au site d'application, tels des sensations de brûlures, d'irritations, prurit et érythème. •De très rares cas de dermatites de contact, et des cas isolés d'éruption érythémateuse ou d'urticaire ont également été rapportés depuis la commercialisation. |
Hypersensibilité à l'un des composants (ou sensibilisation de groupe). •Utilisation de diaphragmes en latex. |
Mises en garde spéciales En l'absence d'une symptomatologie clinique évocatrice, la seule constatation d'un candida sur la peau ou les muqueuses ne peut constituer en soi une indication. La candidose confirmée, il faut rechercher avec soin les facteurs écologiques permettant et favorisant le développement du candida. Pour éviter les rechutes, l'éradication et la prise en compte des facteurs favorisants est indispensable. Il est souhaitable de traiter simultanément tout foyer à candida associé reconnu pathogène. Précautions d'emploi En cas d'intolérance locale ou de réaction allergique, le traitement sera interrompu. Il est déconseillé d'utiliser un savon à pH acide (pH favorisant la multiplication des candida): voir rubrique Posologie et mode d'administration , conseils pratiques. |
Interactions médicamenteuses :Associations déconseillées + Diaphragmes en latex Risque de rupture du diaphragme. Associations déconseillées + Spermicides Tout traitement local vaginal est susceptible d'inactiver une contraception locale spermicide. Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Anticoagulants oraux Augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation, si besoin, de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par éconazole et après son arrêt. |
Grossesse Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène ( voir rubrique Sécurité préclinique ). En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à l'éconazole est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de l'éconazole par voie vaginale ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. Allaitement La résorption du nitrate d'éconazole par la muqueuse vaginale est faible; en conséquence, l'allaitement est possible en cas de traitement par ce médicament. |
Classe pharmacothérapeutique: ANTIINFECTIEUX ET ANTISEPTIQUES A USAGE GYNECOLOGIQUE, Code ATC: G01AF05. (G: système génito-urinaire et hormones sexuelles) Le nitrate d'éconazole est un dérivé imidazolé doué d'une activité antifongique et antibactérienne. L'activité a été démontrée in vitro et s'exerce sur les agents responsables des mycoses cutanéo-muqueuses: •les candida et autres levures (agents des mycoses vaginales), •les bactéries Gram + parfois responsables d'une surinfection. In vitro, les tentatives de sélection de souches de Candida albicans résistantes à l'éconazole n'ont pas mis en évidence de résistances acquises; in vivo, ce risque est infime. Mécanisme d'action Différent de celui des antibiotiques, il se situe à plusieurs niveaux: membranaire (augmentation de la perméabilité), cytoplasmique (inhibition des processus oxydatifs au niveau des mitochondries), nucléaire (inhibition de la synthèse de l'ARN). Ce dosage est adapté au traitement court. |
Dans l'espèce humaine, l'éconazole est faiblement absorbé après administration vaginale. Les concentrations maximales d'éconazole et/ou de ses métabolites dans le plasma ou le sérum observées 1-2 jours après administration sont approximativement de 65 ng/ml pour un ovule de 150 mg. Pour un ovule de 150 mg, approximativement 5% de la dose d'éconazole sont absorbés. Dans la circulation systémique, l'éconazole et/ou ses métabolites sont fortement liés (> 98%) aux protéines plasmatiques. L'éconazole est fortement métabolisé par oxydation, désamination et/ou O-désalkylation et les métabolites sont éliminés par voies rénale et fécale. Au contact de la muqueuse vaginale, l'excipient de ce médicament forme un gel bioadhésif, contenant du nitrate d'éconazole. Ce gel adhère à la muqueuse vaginale permettant ainsi de maintenir une concentration efficace en principe actif dans le vagin pendant plusieurs jours |
A conserver à une température ne dépassant pas 30°C. durée 3 ans. |
Pas d'exigences particulières. |
Forme galénique / Dosage : Ovule 150 mg
Quantité par unité : Boîte de 3
Famille ATC : Anti-infectieux et antiseptiques gynécologiques
Classe ATC : ANTIINFECTIEUX ET ANTISEPTIQUES, NON ASSOCIES AUX CORTICOIDES
Sous classe ATC : DERIVES IMIDAZOLES
Laboratoire : JANSSEN-CILAG
Prix public (FCFA) : 3375